EAU POTABLE

Härtegrad Fischbach 33°fH

°fH = französische Härtegrade

(1 °fH = 1 g Kalk in 100 l Wasser)

°dH = deutsche Härtegrade

(1 Grad französische Härte entspricht 0.56 Grad deutscher Härte)

Weiches Wasser 0-15 °fH / 0-8 °dH

Mittelhartes Wasser 15–25 °fH / 8–14 °dH

Hartes Wasser über 25 °fH / 14 °dH

Publications

Normes de potabilité – Principe

L’analyse de l’eau potable

Une part importante du laboratoire est consacrée à la surveillance de la bonne qualité de l’eau potable sur le territoire du Grand-Duché. On distingue la qualité microbiologique et la qualité chimique de l’eau distribuée. Pour l’analyse microbiologique de l’eau potable, les paramètres analysés lors d‘un contrôle de routine sont d’une part les bactéries indicatrices de contamination fécale (E. Coli, Entérocoques), ainsi qu’une détermination du nombre total en bactéries (germes aérobies mésophyles) présentes dans l’eau potable. L’analyse classique de la qualité chimique de l’eau potable sur des paramètres sélectionnés est effectuée de manière routinière, mais la recherche étendue de certains contaminants inorganiques et organiques peut parfois être relativement complexe et laborieuse.

Surveillance

La denrée alimentaire la plus surveillée.

L’eau potable doit répondre à des normes très strictes, fixées par le règlement grand-ducal du 7 octobre 2002 relatif à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine, basé sur une directive européenne. En effet, l’eau distribuée doit être parfaitement propre et saine et doit répondre à des critères en ce qui concerne le goût, l’odeur et l’aspect.

La commune contrôle la qualité de l’eau distribuée à ses habitants, même si elle est approvisionnée par un syndicat d’eau potable. En plus de ce contrôle communal, l’Administration de la Gestion de l’Eau effectue des contrôles complémentaires dans les réseaux de distribution communaux. D’autant plus, l’eau provenant du SEBES est mensuellement contrôlée par le Laboratoire de l’Eau et de l’Environnement.

Les eaux souterraines sont sollicités par des activités agricoles, communales mais aussi privés (cité jardinières,… ). Certaines sources, exploitées comme eau potable, font partie du réseau de surveillance pesticide.